En France, le marché des véhicules sans permis est en plein essor ces dernières années, plus de 10% en 2016 et aussi en 2017 d’après une étude par ASSURANCE-VSP. Cela montre un intérêt croissant pour cette catégorie de véhicules.
Les constructeurs ont compris que leur survie sur le marché de l’automobile revenait à revoir leur façon de concevoir les VSP. C’est pourquoi les nouveaux modèles sur le marché ont gagné en qualité perçue. De ce fait, l’esthétique, le choix diversifié de fonctionnalités et la sécurité sont devenus les piliers des départements de recherche et développement.
Comme dans la production de tout véhicule, les ingénieurs soumettent la voiture sans permis à différents tests de sécurité.
Grâce à ces simulations techniques, qui incluent des tests de collision, les constructeurs vérifient la conformité de tous les composants essentiels à la sécurité des usagers de la route.
Selon l’entreprise Aixam, seuls 0,2% des accidents tous véhicules confondus, il s’agit du taux le plus bas du marché! Ce ne sont pas seulement les tests de collision frontale qui sont effectués, mais également les tests latéraux et arrière. La sécurité n’a donc rien à envier à un modèle classique.
La législation insiste sur le fait qu’une voiture sans permis ne doit pas dépasser 50 km / h. Pourquoi limiter la vitesse à cela? Continuez à lire pour savoir.
Son moteur
La voiture sans permis Paris est placée dans la catégorie quadricycle. Utilisant le diesel pour rouler, la voiturette fonctionne avec une vitesse automatique. Bien que pratique, elle est soumis à de nombreuses réglementations. Le premier: son poids. Légère par rapport aux voitures classiques, une VSP ne doit pas peser plus de 425 kg à vide.
Notez que ce poids comprend le carburant. Il ne doit pas non plus dépasser le seuil maximal de 50 cm³. En ce qui concerne le moteur, la puissance ne doit pas dépasser les 6 kW prescrits. Cela équivaut à huit chevaux. C’est cette faible puissance qui empêche la voiture de dépasser 50 km / h.
Ses utilisateurs
Même si, à ses débuts, la voiture sans permis paris attirait uniquement les personnes âgées dans les zones rurales, ce temps est maintenant écoulé. Cette voiturette attire aujourd’hui une toute nouvelle clientèle:
14 à 32 ans: alors que de nombreuses personnes âgées continuent d’adopter la VSP, les moins de 32 ans représentent environ 49% des utilisateurs. Les adolescents âgés de 14 à 18 ans ont plus de 10% des conducteurs. Pour une bonne raison, les parents trouvent le quadricycle plus sécurisé que le scooter. Les nouveaux modèles qui apparaissent progressivement sur le marché sont pour quelque chose.
Ceux qui n’ont pas le permis: même s’il y a une formation à suivre, conduire une VSP reste plus avantageux. En effet, selon ces conducteurs, la réussite à l’examen de licence est nettement plus onéreuse que l’achat d’une voiturette.
Permis retirés: ceux qui ont eu leur permis retirés sont nombreux à se tourner vers la voiture sans permis, que ce soit pour le loyer ou pour l’achat. Derrière ces permis retirés, cependant, peuvent se cacher des délinquants chroniques qui ont des problèmes avec le volant.
Les sentences pour le débridage
La sécurité étant la première raison de ces voitures sans permis, la réglementation est stricte. Si vous ne trouvez pas convenable pour vous de conduire à 50 km / h, mais que vous ne pouvez pas prendre le volant d’une voiture normale, il est possible de la débrider, mais cela est vivement déconseillé. En effet, modifier le moteur d’une voiture sans permis paris pour augmenter la vitesse maximale est punissable de deux ans de prison et d’une amende pouvant aller jusqu’à 30 000 euros.
De plus, les assureurs refusent de couvrir une voiture débridée pour la simple raison que les risques sont beaucoup plus élevés. Certains acceptent toutefois quelques euros de plus en primes d’assurance.
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